Retour sur la table-ronde Le partage de la valeur au sein des entreprises : comment et où discuter dans les entreprises ?

Pour celles et ceux qui n’ont pu y assister, rendez-vous sur la chaîne Ebra Events pour revoir le débat auquel notre expert Florian Delvaux a participé.

Secafi, présent à la 3e édition de Dialogue social en action du 12 octobre dernier

Débat animé par Vincent Rocken, Journaliste au Progrès

Intervenants : Florian Delvaux, Consultant cabinet Secafi, Bertrand Fialip, Avocat en droit du travail, représentant de la CPME à l’Observatoire du dialogue social du Rhône, Philippe Latorre, Consultant, et Marielle Mangeon, Déléguée nationale confédérale CFE-CGC à la transition économique.

Pour (re)voir l’intégralité de la table-ronde du 12 octobre dernier sur le partage de la valeur dans les entreprises, 3e édition de Dialogue social en action, un événement organisé par Le Progrès | Ebra Events et la DDETS du Rhône, RDV ICI.

Secafi, présent à la 3e édition de Dialogue social en action du 12 octobre dernier

“Aujourd’hui, la rémunération n’est pas le seul critère d’attractivité d’une entreprise pour les jeunes générations. Comptent également les conditions de travail, les accords télétravail, le secteur d’activité, la responsabilité sociétale et environnementale, le lien du territoire entre la formation et ses métiers, la transition professionnelle… Le sujet est bien trop vaste pour le réduire à des sujets de rémunération à l’heure actuelle mais c’est sûr que c’est un facteur. L’ANI Partage de la valeur est une excellente boîte à outils pour les entreprises de 11 à 50 salariés mais il va falloir qu’elles s’en saisissent tant dans la façon de négocier qu’en matière de gouvernance.”

Florian Delvaux

Secafi, présent à la 3e édition de Dialogue social en action du 12 octobre dernierJe pense qu’il aurait fallu développer dans l’ANI ‘Partage de la valeur’ un système d’actions gratuites un peu plus simple. Je crois qu’il faut que les salariés participent à la création de valeur de façon plus générale et il faut réfléchir à des mécanismes, sans attendre que l’entreprise soit cédée, pour que les salariés puissent profiter d’une valeur créée, non forcément extériorisée immédiatement par des distributions de dividendes ou des profits. Je trouve que le système de distribution d’actions gratuites n’est pas très facile à mettre en œuvre et on pourrait aller beaucoup plus loin. En matière de gouvernance, la participation des salariés devrait être systématique et beaucoup plus importante que ce que la loi Pacte a prévu.

Pierre Ferracci, Président du Groupe Alpha et Parrain de la 3e édition Dialogue social en action du 12/10 dernier